K.
2018-11-30 11:25:45 UTC
C'est faux. La loi Gayssot n'interdit ni les débats ni les
recherches, et aucun historien ne s'est plaint d'être dans
l'empêchement de faire des recherches à cause de cette loi.
Ils n'ont pas intérêt.recherches, et aucun historien ne s'est plaint d'être dans
l'empêchement de faire des recherches à cause de cette loi.
l'humanité, pas les recherches sur la Seconde guerre mondiale ni les
crimes nazis. Or, aucun vrai historien ne conteste ces crimes.
"loi Gayssot", il y avait des historiens qui travaillaient sur la période
et nul d'entre eux n'a remis en cause la réalité des crimes nazis ni
l'utilisation des chambres à gaz à des fins homicides.
Les seuls à contester ces crimes étaient déjà des négationnistes, pas
des historiens. De manière symptomatique, il n'y avait pas un seul
docteur en histoire parmi eux.
Faurisson était professeur de littérature, Zündel était retoucheur de
photos, Butz professeur en ingénierie électrique, Stäglich était juge,
Raven était un auteur de sketches pour comiques et d'articles pour
magazines automobiles, Reynouard a un diplôme de chimiste, etc.
Par conséquent, la loi Gayssot n'a nullement entravé les travaux des
historiens, mais uniquement l'expression publique de thèses
négationnistes, ce qui était son but au départ.
Notez que
les nazis, eux non plus, ne les contestaient pas : lors du procès de
Nuremberg, ils ont simplement cherché à minimiser leur responsabilité.
Les preuves étaient trop accablantes pour qu'ils aient pu tenter une
ligne de défense "négationniste". Et ce qui était vrai en 1945 et 1946
l'est toujours aujourd'hui. Par conséquent, ceux qui contestent ces
crimes ne sont pas des vrais historiens mais des idéologues qui
cherchent à réhabiliter le nazisme en effaçant les crimes du passé.
Non, pas du tout. La vérité n'a pas besoin de loi qui interdise de lales nazis, eux non plus, ne les contestaient pas : lors du procès de
Nuremberg, ils ont simplement cherché à minimiser leur responsabilité.
Les preuves étaient trop accablantes pour qu'ils aient pu tenter une
ligne de défense "négationniste". Et ce qui était vrai en 1945 et 1946
l'est toujours aujourd'hui. Par conséquent, ceux qui contestent ces
crimes ne sont pas des vrais historiens mais des idéologues qui
cherchent à réhabiliter le nazisme en effaçant les crimes du passé.
contester pour être vraie. La vérité scientifique ne craint pas la
confrontation avec les faits et les arguments.
sanctionne comme acte "raciste, antisémite ou xénophobe" le fait de
contester les crimes contre l'humanité tels qu'ils ont été définis
dans le statut du Tribunal de Nuremberg.
Le législateur considère que la négation de ces crimes porte préjudice
à ceux qui en ont été les victimes.
On peut comprendre en effet que la loi doive protéger ceux qui ont
souffert des crimes nazis en leur épargnant la souffrance supplémentaire
d'être confrontés, dans l'espace public, à ceux qui, comme Faurisson,
ricanent en écoutant le récit des survivants et considèrent tous les
témoignages comme mensongers. Clairement, la négation du crime vient
s'ajouter au crime pour en augmenter la nuisance.
C'est, à mon sens, la seule utilité d'une loi comme celle-ci, épargner
une souffrance supplémentaire à ceux qui ont déjà souffert des crimes
nazis.
Le simple fait que toute contestation soit un crime
Un délit, pas un crime.montre que l'on ne cherche pas la vérité,
mais à faire taire par le terreur et la peur.
Si je considère l'existence de races inférieures comme une "vérité",mais à faire taire par le terreur et la peur.
les lois antiracistes me sembleront intolérables puisqu'elles
m'empêchent d'exprimer publiquement *ma* vérité (que je considère
évidemment être *la* vérité).
Pour autant, nul ne conteste que les lois antiracistes sont utiles au
maintien d'une bonne entente entre les citoyens.
Le but de la loi n'est pas de "chercher la vérité" (c'est le domaine de
la recherche, y compris dans le domaine historique), mais de maintenir la
paix et l'harmonie entre les hommes.