Fang
2018-12-15 23:33:35 UTC
https://www.causeur.fr/gilets-jaunes-suisse-despot-157128
« Les Gaulois, décidément, ne font rien comme les autres. Le printemps
de la France, ils ont réussi à le coller en décembre. Je ne sais sur
quoi il débouchera, je sais seulement que dans ce pays, l’on se sent
moins seul. Voici donc en vrac quelques tableaux d’une révolution qui
n’ose pas encore afficher son nom.
...
Il n’y a pas d’hommes à proprement parler dans le milieu de Faustine.
Son bestiaire quotidien est composé d’onagres et d’hermaphrodites. «
Crevettes » lettreuses : hanches étroites, lunettes rondes, fuseaux trop
courts sur chaussettes fuchsia. « Loufiats » du business au regard blasé
et hautain de la haute domesticité : « les Nestors de l’hyperclasse ».
Cette caste servile et qui se croit régnante d’où est issu le président
lui-même. Tout ce petit monde est nerveux et sue la trouille. Dans un
ultime et imprudent réflexe d’impunité, ils continuent d’insulter le
peuple en se cachant derrière les forces de l’ordre.
« Le soulagement que c’était de voir des bonnes bouilles de provinciaux
à l’Alma ! Des gens ordinaires, rieurs, roses de froid. Face à ces
masques de cendre renfrognés, les Parisiens… »
...
Le protégé de Brigitte, je l’ai orthographié Macron® comme un produit
industriel dès avant son élection et j’ai relevé son inquiétant manque
d’intelligence au moment même où l’on nous matraquait avec sa brillance
et sa maîtrise. La haine personnelle contre ce personnage immature et
arrogant est le ciment même de cette vague jaune si décentrée et
d’autant plus dangereuse. « Il n’est pas fini »: le mot d’un officier
humilié m’est revenu aux oreilles à plusieurs reprises ces derniers
ours. Mais il n’y a pas que lui. En quelques jours seulement, la classe
politique française dans son ensemble est devenue du passé, en
particulier les calamiteux députés de cette « République en marche »
rassemblée de bric et de broc au lendemain de la présidentielle. Quant à
la classe médiatique, en particulier du côté des porte-voix de
milliardaires comme BFMTV, elle a perdu le peu de crédibilité qu’il lui
restait.
« Si quelqu’un n’avait pas encore compris que Macron était le produit
d’un coup d’État médiatico-financier, il n’a plus d’excuse maintenant »,
conclut Faustine. Étant le produit d’une conjuration, il entraîne dans
sa chute tout le cercle des conjurés.
... »
« Les Gaulois, décidément, ne font rien comme les autres. Le printemps
de la France, ils ont réussi à le coller en décembre. Je ne sais sur
quoi il débouchera, je sais seulement que dans ce pays, l’on se sent
moins seul. Voici donc en vrac quelques tableaux d’une révolution qui
n’ose pas encore afficher son nom.
...
Il n’y a pas d’hommes à proprement parler dans le milieu de Faustine.
Son bestiaire quotidien est composé d’onagres et d’hermaphrodites. «
Crevettes » lettreuses : hanches étroites, lunettes rondes, fuseaux trop
courts sur chaussettes fuchsia. « Loufiats » du business au regard blasé
et hautain de la haute domesticité : « les Nestors de l’hyperclasse ».
Cette caste servile et qui se croit régnante d’où est issu le président
lui-même. Tout ce petit monde est nerveux et sue la trouille. Dans un
ultime et imprudent réflexe d’impunité, ils continuent d’insulter le
peuple en se cachant derrière les forces de l’ordre.
« Le soulagement que c’était de voir des bonnes bouilles de provinciaux
à l’Alma ! Des gens ordinaires, rieurs, roses de froid. Face à ces
masques de cendre renfrognés, les Parisiens… »
...
Le protégé de Brigitte, je l’ai orthographié Macron® comme un produit
industriel dès avant son élection et j’ai relevé son inquiétant manque
d’intelligence au moment même où l’on nous matraquait avec sa brillance
et sa maîtrise. La haine personnelle contre ce personnage immature et
arrogant est le ciment même de cette vague jaune si décentrée et
d’autant plus dangereuse. « Il n’est pas fini »: le mot d’un officier
humilié m’est revenu aux oreilles à plusieurs reprises ces derniers
ours. Mais il n’y a pas que lui. En quelques jours seulement, la classe
politique française dans son ensemble est devenue du passé, en
particulier les calamiteux députés de cette « République en marche »
rassemblée de bric et de broc au lendemain de la présidentielle. Quant à
la classe médiatique, en particulier du côté des porte-voix de
milliardaires comme BFMTV, elle a perdu le peu de crédibilité qu’il lui
restait.
« Si quelqu’un n’avait pas encore compris que Macron était le produit
d’un coup d’État médiatico-financier, il n’a plus d’excuse maintenant »,
conclut Faustine. Étant le produit d’une conjuration, il entraîne dans
sa chute tout le cercle des conjurés.
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