UBUjean-jacques viala
2005-09-04 19:28:08 UTC
UNE FOIS DE PLUS, Bouteflika, qui était en tournée pour le référendum
sur la réconciliation nationale à Béchar (ex-Colomb-Béchar) le 28 août
dernier, est revenu sur la question du "traité d'amitié" (sic) entre la
France et l'Algérie.
Soulignant qu'il ne parlait pas dans un esprit "de revanche" , le chef
de l'Etat algérien a commencé par dire: "Notre seul but est d'avoir des
relations paisibles et amicales. Nous ne voulons qu'une paix et une
quiétude sur un pied d'égalité."
Ce qu'il entend par là? Il s'en est expliqué très clairement dans un
autre "message", daté du 25 août celui-là: "Nous rappelons à nos amis en
France, à ceux dont la conscience est encore vive, qu'ils n'ont pas
d'autre choix que de reconnaître qu'ils ont torturé, tué, exterminé de
1830 à 1962 (...), qu'ils ont voulu aneantir l'identité algérienne."
Nous laissons à Bouteflika ses "amis en France" , porteurs de valises,
complices des égorgeurs FLN, pieds-rouges plus ou moins honteux,
gaullistes attardés et, last but not least, Jacques Chirac qui - contre
nombre de ses "godillots" UMP d'ailleurs - s'est fait le thuriféraire de
ce "traité d'amitié" de la honte.
Ce que nous ne pouvons laisser passer, en revanche, c'est l'accusation
selon laquelle la France aurait, de 1830 à 1962, "torturé, tué,
exterminé" en Algérie.
Débarqués dans l'antre de barbaresques, les Français ont libéré des
populations indigènes du joug de leurs maîtres turcs qui les traitaient
comme du bétail. Et puis, année après année, ils ont fait d'un pays
fétide un pays riche et pacifié.
Ils ont assaini les marais, construit des routes, des ponts, des
hôpitaux, des écoles. Ils ont pris soin des plus pauvres, soigné les
malades, nourri les malheureux. Et si quelqu'un a vraiment donné une
"identité" à cette "Algérie" qui n'en avait pas, ce sont bien les
Français.
Non seulement Paris n'a pas réagi au discours du 28 août de Bouteflika,
mais on continue de nous assurer - via le dhimmi Douste-Blazy perçu à
Alger comme l'un des promoteurs de ce traité - que le traité d'amitié
franco-algérien sera signé "avant la fin de l'année"
sur la réconciliation nationale à Béchar (ex-Colomb-Béchar) le 28 août
dernier, est revenu sur la question du "traité d'amitié" (sic) entre la
France et l'Algérie.
Soulignant qu'il ne parlait pas dans un esprit "de revanche" , le chef
de l'Etat algérien a commencé par dire: "Notre seul but est d'avoir des
relations paisibles et amicales. Nous ne voulons qu'une paix et une
quiétude sur un pied d'égalité."
Ce qu'il entend par là? Il s'en est expliqué très clairement dans un
autre "message", daté du 25 août celui-là: "Nous rappelons à nos amis en
France, à ceux dont la conscience est encore vive, qu'ils n'ont pas
d'autre choix que de reconnaître qu'ils ont torturé, tué, exterminé de
1830 à 1962 (...), qu'ils ont voulu aneantir l'identité algérienne."
Nous laissons à Bouteflika ses "amis en France" , porteurs de valises,
complices des égorgeurs FLN, pieds-rouges plus ou moins honteux,
gaullistes attardés et, last but not least, Jacques Chirac qui - contre
nombre de ses "godillots" UMP d'ailleurs - s'est fait le thuriféraire de
ce "traité d'amitié" de la honte.
Ce que nous ne pouvons laisser passer, en revanche, c'est l'accusation
selon laquelle la France aurait, de 1830 à 1962, "torturé, tué,
exterminé" en Algérie.
Débarqués dans l'antre de barbaresques, les Français ont libéré des
populations indigènes du joug de leurs maîtres turcs qui les traitaient
comme du bétail. Et puis, année après année, ils ont fait d'un pays
fétide un pays riche et pacifié.
Ils ont assaini les marais, construit des routes, des ponts, des
hôpitaux, des écoles. Ils ont pris soin des plus pauvres, soigné les
malades, nourri les malheureux. Et si quelqu'un a vraiment donné une
"identité" à cette "Algérie" qui n'en avait pas, ce sont bien les
Français.
Non seulement Paris n'a pas réagi au discours du 28 août de Bouteflika,
mais on continue de nous assurer - via le dhimmi Douste-Blazy perçu à
Alger comme l'un des promoteurs de ce traité - que le traité d'amitié
franco-algérien sera signé "avant la fin de l'année"
--
UBU.
Le désarmement serait encore plus nécessaire si, demain, le racisme
hitlérien accédait au pouvoir.
Léon Blum, 25 avril 1932.
UBU.
Le désarmement serait encore plus nécessaire si, demain, le racisme
hitlérien accédait au pouvoir.
Léon Blum, 25 avril 1932.